La méthode du « Death Cleaning » fait de plus en plus d’adeptes
Le concept suédois du « Death Cleaning » fait de plus en plus d’adeptes. On vous explique.
Il y a eu la vague Marie Kondo qui prônait le minimalisme, le rangement pour se sentir mieux chez soi et dans sa tête.
Un nouveau concept est en train de se développer et nous vient de Suède. Il s’agit du « Death Cleaning ». Si l’expression est plutôt lugubre au premier abord, elle fait partie d’une technique de développement personnel. En effet, si l’on considère les termes death qui signifie mort et cleaning qui est l’action de faire du rangement, on peut douter des bienfaits du death cleaning dans notre lifestyle. Ce concept s’adresse aux personnes plus âgées, comme le rapporte le magazine Positiv’R : « Ce concept répond aux besoins de changement des plus âgés, afin de désencombrer leurs maisons avant la mort ». C’est un « processus de ménage, de tri et de réorganisation pour cette ultime phase de la vie ». Une manière aussi de décharger la famille et les proches. Le concept de Death Cgeaning est apparu en 2018 dans le livre de l’autrice suédoise Margareta Magnusson baptisé The Gentle Art of Swedish Death Cleaning.
En France, ce concept n’est pas encore pleinement installé. Toutefois, certains experts s’y mettent comme Carmen Jean-Baptiste, qui est home organiser. Son activité professionnelle consiste à coacher les gens chez eux et elle pratique aussi le death cleaning qui est selon elle « une manière d’éviter d’encombrer l’espace de vie ». Si vous souhaitez vous lancer dans le death cleaning, gardez en tête l’objectif qui est de se débarrasser d’affaires accumulées sur les années et de faire un grand rangement symbolique.
le 13/07/2022